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| News of the world | |
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Thomas tarasque géante
Nombre de messages : 361 Age : 42 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: News of the world Lun 31 Aoû - 23:12 | |
| Disney vs Marvel : Spider-Man racheté par Mickey! Le géant Disney a fait l’acquisition de Marvel pour la modique somme de 4 milliards de dollars. par Alexandre Hervaud - www.ecrans.frWalt Disney Co. a créé un sacré vacarme dans la communauté geek avec l’annonce du rachat de Marvel Enterainment, société bien connue des amateurs de super-héros. Montant du deal : 4 milliards de dollars, soit environ 2,8 milliards d’euros. Le prix à payer pour s’offrir les quelques 5000 personnages Marvel, dont les plus fameux, créés par Stan Lee, sont Spider-Man, Hulk, Wolverine et tous leurs X Men de collègues... Si d’aventure, vous êtes actionnaire de Marvel, attendez vous à recevoir 30 dollars par action en bonus, suite à ce deal faramineux, ainsi que 0,745 d’action Disney en bonus pour chaque action Marvel de votre portefeuille. Mais si vous lisez Ecrans.fr et pas la Tribune (les deux n’étant toutefois pas incompatibles), vous êtes potentiellement plus fan qu’actionnaire. Sans surprise, le communiqué de presse annonçant la nouvelle enfile les amabilités convenues entre les deux entreprises. Côté Disney, on affirme que « l’arrivée de Marvel dans l’éventail si unique des marques Disney représente des opportunités significatives de croissance à long terme ». Côté Marvel, on affirme que la boîte à Mickey est « la maison parfaite pour accueillir nos personnages, compte tenu de sa capacité de création », blablabla, on vous épargne le léchage de botte en règle. Au delà des considération financières, et de la bonne manne que représente le deal pour les actionnaires de Marvel, la vraie question qui se pose – et qui inquiète les fans- se résume à : les cadres de chez Disney mettront-ils leur nez dans les comics Marvel et leurs adaptations ciné pour en adoucir le ton ? Car en matière d’édulcoration, les exécutifs de chez Marvel n’ont guère besoin de zèle supplémentaire (voir les bouses adaptées des Quatre Fantastiques pour s’en convaincre). Sur son Twitter, Joe Quesada, rédacteur en chef chez Marvel comics, se veut rassurant : « que tout le monde respire un bon coup, tous vos héros de bande-dessinée resteront inchangés ». Sur un ton plus moqueur, et toujours sur le site de micro-blogging Twitter, l’auteur de comics Frank Tieri a lâché un persifleur « oh ouais, Disney va m’adorer ». Son travail consistant principalement à écrire les mésaventures d’un Wolverine en furie, on peut apprécier la confiance moqueuse face aux nouveaux employeurs. Cette acquisition ne remet pas en question les accords préexistants entre Marvel et les majors hollywoodiennes : Iron Man 2 sortira ainsi comme prévu en avril prochain sous la bannière Paramount, et l’hypothétique Spider-Man 4 se fera bien chez Sony. Une fois ces accords arrivés à terme, Disney espère bien voir ces franchises tomber dans son escarcelle, et c’est ce qui inquiète certains observateurs, comme le site spécialisé Chud.com. Une crainte qui ne tient pas tant à l’incidence de Disney sur le contenu des films, mais sur sa probable réticence à distribuer à tire-larigots les adaptations promises aux fans depuis belle lurette. En ces temps de crises, un seul studio pourra-t-il se permettre de sortir deux ou trois mastodontes par an ? Pas sûr. Quoi qu’il en soit, ce super-deal permet de fantasmer à de juteux partenariats : les petits génies de chez Pixar, propriété de Disney, seraient ainsi très tentés de faire joujou avec la galerie de super-héros Marvel. Bizarrement, après leur trépidants Indestructibles (2004), on s’en serait douté... | |
| | | Thomas tarasque géante
Nombre de messages : 361 Age : 42 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: News of the world Jeu 10 Sep - 14:13 | |
| Mickey au pays des MarvelSpider-Man, Hulk, les 4 Fantastiques... ce sont plus de 5 000 personnages de comics qui, désormais, font partie de la galaxie Disney. De quoi rassasier la souris pendant le siècle à venir. par Olivier Séguret - www.ecrans.frOn ne rigole plus. Mickey Mouse a terrassé Hulk et Donald Duck est venu à bout de Spider-Man. L’affaire est d’importance. Lundi 31 août, l’annonce du rachat, pour 4 milliards de dollars (2,8 milliards d’euros), de Marvel Comics par la compagnie Walt Disney a pris Hollywood et Wall Street par surprise. Cette fusion-acquisition est le mariage de deux usines à mythes. Avec ce rachat, le monopole de Disney sur les créatures mythologiques modernes, qui accompagnent le consommateur global de la petite enfance à l’âge adulte, devient presque parfait. Dans ce registre, on ne voit que Harry Potter ou la galaxie Tolkien (le Seigneur des anneaux) qui échappent encore à l’empire Mickey. Ainsi que Superman et Batman, dans l’escarcelle de Time Warner. Avec Hulk, Spider-Man est certainement le héros le plus emblématique de l’écurie Marvel, dont le cheptel s’élève à environ 5 000 personnages… Des superhéros positifs parmi lesquels Blade, Captain America, le Surfeur d’argent, Wolverine, Thor ou Iron Man. Des super villains (en américain dans le texte) comme Venom, docteur Octopus ou le Bouffon vert. Et même des équipes de héros tels les X-Men, les Fantastic Four ou The Avengers. Fondée en 1939, dans les dernières années de la grande Dépression, par l’éditeur de pulp magazines Martin Goodman, Marvel Comics était à l’origine conçu comme une réponse à la vogue des très populaires Batman et Superman, fers de lance de l’écurie concurrente DC. Cette dernière, absorbée par Warner en 1969, appartient désormais au conglomérat Time Warner qui en exploite les licences avec l’opiniâtreté et le succès que l’on sait : le dernier Batman, The Dark Knight, réalisé par Christopher Nolan a aussi été le plus rentable de la série. Ce n’est qu’à partir des années 60 et la création par l’indispensable Stan Lee des Fantastic Four, de Hulk et surtout du fameux homme-araignée que Marvel s’est vraiment spécialisé à son tour dans la création de superhéros. Malgré ses succès, l’entreprise a longtemps manqué d’habileté dans la conduite de ses affaires, frôlant carrément la banqueroute dans les années 90, du fait de diversifications hasardeuses. Du point de vue business, le rachat de Marvel était plutôt inattendu. Le climat économique semblait peu propice : l’opération est la première fusion-acquisition d’envergure réalisée depuis des années dans le secteur plutôt échaudé de l’entertainment. Le coût auquel la maison Marvel est rachetée ensuite, très supérieur à sa valeur boursière (50 dollars par action, soit près de 30 % au-dessus de leur cours). Enfin, le fait que le deal n’avait rien d’urgent pour la compagnie aux grandes oreilles qui a connu, depuis l’acquisition des studios Pixar, un beau rétablissement, après les sombres années qu’incarnait la fin du règne de l’ère du PDG mégalo Michael Eisner, démissionné en 2005. Industriellement, pourtant, l’affaire tombe sous le sens, au point d’y voir The Ultimate Alliance, selon le titre d’un épisode du jeu Spider-Man. Le vivier de personnages et de fictions sur lequel Disney vient de faire main basse a de quoi nourrir ses activités pour le siècle qui vient. Aussi bien dans l’adaptation classique, au cinéma et en jeux vidéo, que dans la fabrication de dessins animés traditionnels ou en 3D, pour la télé, le grand écran ou directement en DVD, sans compter les créations d’attractions nouvelles dans les Disneyworld d’Europe, d’Asie et d’Amérique [1]. L’expertise de Disney pour faire fructifier ce que le business appelle « IP » (propriété intellectuelle) n’étant plus à démontrer, les synergies envisagées donnent actuellement lieu à toutes les élucubrations dans la profession. Il semble acquis que les petits génies de Pixar auront leur carte à jouer dans l’intégration maison des réfugiés Marvel. Une dimension démographique et sociologique éclaire la logique de cette alliance. Régnant quasiment sans partage sur le monde de l’enfance, du conte et du merveilleux, Disney réussit, avec l’acquisition de Marvel, un cross-over significatif en direction des adolescents et des jeunes adultes, auxquels convient mieux l’univers des comics. C’est également à un rééquilibrage en faveur du public masculin que la maison Mickey va pouvoir procéder, ainsi que le développait le New York Times : « La couvée des personnages Marvel a tendance à être plus populaire auprès des garçons, domaine où Disney a besoin d’un sérieux coup de main. Autant les Hannah Montanaet les gammes de merchandising autour des « princesses » maison (de Blanche-Neige à Mulan) ont fidélisé le public des petites filles, autant il a été difficile de créer des franchises analogues en direction des garçons. » Le business spécifique du jeu vidéo promet d’occuper lui aussi une position cruciale dans le pacte qui vient d’être signé. A ce jour, les développeurs du studio Activision ont produit plus de jeux Spider-Man que Sony n’en a tiré de films, et il y a tout à parier pour que cette tendance embellisse. Dans le secteur du jeu, la possession de IP populaires est un avantage vital, et Marvel était depuis longtemps courtisé par les développeurs. Disney aura fort à faire pour récupérer, s’il le souhaite, cette partie du business, certains contrats de licence se projetant au-delà de 2019. Plus masculin, plus adulte, plus « gamer », le public des bandes dessinées Marvel est également plus critique que le public de Disney. Objet de culte au sein de diverses communautés socioculturelles (ados, gamers, geeks…), la marque Marvel Comics est en permanence placée sous la surveillance de ses fans et de leur susceptibilité farouche. Malgré les rumeurs alarmistes en vigueur sur les forums dédiés, qui paniquent à l’idée d’une aseptisation de la culture Marvel, relativement rebelle, par le désinfectant Disney, il est difficile de défendre la façon dont la société Marvel elle-même a vendu son patrimoine à Hollywood : pour un excellent Sam Raimi aux manettes de Spider-Man, combien de nullissimes Fantastic Four ou Iron Man ? Si la fusion est décidée, sa mise en pratique risque de prendre du temps, car elle implique une multitude de contrats cinéma déjà en cours avec des tiers, dont certains courent au-delà de 2017. Ainsi, Sony a une exclusivité sur les trois prochains Spider-Man, la Fox développe les futurs X-Men, la Paramount est en charge des prochains Iron Man et Captain America. Tous ces grands studios ainsi que quelques autres (New Line, Lions Gate…), hier concurrents de Disney, deviennent ainsi ses partenaires de circonstance. Avant que l’Empire ne récupère une à une toutes ces licences. Paru dans Libération du 9 septembre 2009 | |
| | | Fred 'Garall' Déva astral
Nombre de messages : 656 Date d'inscription : 30/12/2006
| Sujet: Re: News of the world Jeu 10 Sep - 21:14 | |
| Je n'ai qu'une chose à dire : | |
| | | NicoChine tarasque géante
Nombre de messages : 374 Age : 49 Date d'inscription : 06/01/2007
| Sujet: Re: News of the world Ven 11 Sep - 11:45 | |
| On est oblige de tout lire ou le titre suffit ? De toute maniere, les scenarios marvel ne sauraient pas etre plus cucu que ce qu'ils sont deja ? (pour la plupart) A quand Bambi avec son fidele Pan-pan qui sauveront le monde avec des capes rouges ?? | |
| | | Fred 'Garall' Déva astral
Nombre de messages : 656 Date d'inscription : 30/12/2006
| Sujet: Re: News of the world Ven 11 Sep - 17:15 | |
| Ils ont pas déjà sorti les Chiens et les Chats sauvent le monde? | |
| | | NicoChine tarasque géante
Nombre de messages : 374 Age : 49 Date d'inscription : 06/01/2007
| Sujet: Re: News of the world Ven 11 Sep - 20:39 | |
| sisisi et en plus comble de tout ................ j'ai aimé ^^ | |
| | | Thomas tarasque géante
Nombre de messages : 361 Age : 42 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: News of the world Ven 18 Sep - 9:51 | |
| parce qu'on a tous eu envie, gosse, d'être espion CIA, Mossad ou DGSE ? Le top 5 des espions sur le WebPar David Servenay | Rue89 | 16/09/2009 | 11H15 Les services de renseignement font leur pub et recrutent avec des sites parfois luxueux. Sauf la France, qui fait le minimum. Vous voulez faire une carrière d'espion ? Devenir une taupe ? Ou un honorable correspondant des services secrets ? Sur le Net, tous les services secrets s'affichent avec plus ou moins de conviction : luxe de la CIA, austérité du MI-6 et du FSB, patriotisme du Mossad ou cocardier pour la DGSE. Difficile de faire son choix… Le plus ringard : la DGSE françaiseTout est parti d'une blague sur le graphisme vieillot de la page d'accueil de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Jugez plutôt… on dirait du web 0.5. D'ailleurs, le service de renseignement (SR) français n'a même pas de site à proprement parler. Tout juste quelques pages sur le portail du ministère de la Défense. Si sa vitrine numérique est à l'image de ses performances… Détail absurde : le SR, qui dispose paraît-il des meilleurs hackers du monde, ordonne à l'internaute de ne pas reproduire ses photos d'illustrations ! Dans la catégorie « on n'est jamais si bien servi que par soi-même », il est aussi un brin cocardier : « A la différence de la plupart des services occidentaux, la DGSE maîtrise en son sein la totalité des modes de recueil du renseignement : sources humaines, capteurs techniques (interceptions électromagnétiques, imagerie satellitaire), moyens opérationnels, exploitation des sources ouvertes. Cette maîtrise unique permet de viser le plus haut niveau de fiabilité et de recoupement, en même temps qu'elle favorise une synergie de nature à renforcer l'efficacité de chacun de ses moyens pris séparément. » Enfin, si vous êtes toujours motivé (comme Virginie Ledoyen, qui jure cette semaine dans Grazia que son rêve est de travailler pour la DGSE, la DST ou la CIA… elle hésite), rendez-vous sur la page recrutement. Je doute que le profil de Virginie Ledoyen les intéresse, mais bon… Le plus classe : le MI-6 britanniqueSi vous cherchez ce petit mélange de classe et d'efficacité, rendez-vous sur le site du Secret Intelligence Service SIS, les services secrets de sa majesté. De tous les grands SR, celui du MI-6 est le plus polyglotte, puisqu'il propose cinq langues différentes : espagnol, français, russe, arabe et chinois. Pratique pour recruter des sources… Il est aussi le seul site à proposer un « virtual tour » avec une acorte jeune femme blonde qui vous vante tous les mérites d'une longue carrière au SIS : restaurant et bar au siège, retraite généreuse, 31 jours de vacances par an, formation continue, clubs sportifs à foison. Bref, tout pour « l'épanouissement personnel » au service d'une vraie « communauté ». L'un des jeunes « operational officers » (qui a une vague ressemblance avec Barack Obama) salue la générosité et la tolérance de ses collègues, « très respectueux » de son appartenance religieuse… à l'islam. Cliché, mais efficace. Le plus riche : la CIA américaineA ce stade, ce n'est plus un site, mais un véritable portail consacré à la communauté américaine du renseignement. Comment faire un Freedom of Information Act (FOIA), comment contacter le grand boss du renseignement (le Director National of Intelligence) et bien sûr, comment faire carrière à Langley… Tout est passé en revue, avec une abondance de détails dont on finit par douter. Mais des doutes, eux, visiblement, n'en ont pas. Ils vont même jusqu'à s'adresser directement aux… enfants. La « kids page » de la CIA propose une lecture très résumée du SR, en suivant les aventures d'Ava Shoephone (lunettes noires et imper mastic), « junior office » de l'Agence. Où l'on découvre la géographie vue par le prisme naïf de Washington. Exemple : « La tour Eiffel est un monument célèbre à Paris. Dans quel pays se trouve Paris ? » Les plus doués peuvent s'entraîner avec les jeux de la centrale de renseignement : casser un code, analyser une scène de rue.. etc. L'arsenal pour cultiver ses qualités d'agent secret. Tout cela sent les bonnes vieilles recettes de propagande pour faire adhérer le citoyen patriote, dès le plus jeune âge. Le plus patriote : le Mossad israélienPar comparaison, le site du Mossad -l'Institut pour le renseignement et les opérations spéciales en Hébreu- est le plus austère. Tout en anglais. Sans doute le SR israélien veut-il cultiver son image de redoutable instrument de la diplomatie parallèle… en particulier des performances clandestines du kidon, son service action. Si vous vous décidez pour le SR israélien, alors il vous faudra souscrire à la charte du Mossad, sorte de serment d'Hippocrate de l'apprenti espion. Le service offre, comme ses homologues, toute une série de métiers. Des plus classiques (analyste, spécialiste des langues étrangères) au plus… étonnant, comme ces « student jobs », dont on se demande bien à quoi ils peuvent ressembler (tu fais quoi cet été ? Oh, pas grand chose, un stage au Mossad…). Le plus « guerre froide » : le FSB russeEnfin, ce tour d'horizon ne serait pas complet sans une excursion du côté de Moscou. Le Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie FSB, héritier du KGB, a un site très complet… sur les structures du service. De l'historique KGB à la liste des directeurs, en passant par la bio du patron et sa charmante photo en uniforme… il est nécessaire de maîtriser l'alphabet cyrillique pour comprendre qui fait quoi. Les plus téméraires pourront essayer la boite contact (en bas à gauche). Au classement Google, la France est bonne dernière A l'heure où de colloques en séminaires, les experts glosent sur le règne de l'infosphère, de l'économie de la connaissance, des approches sémiologiques et autres filtres à fichiers, le classement des recherches Google donne une vision saisissante de leur présence sur le Net. CIA 69 500 000 occurrences MI-6 63 060 000 occurrences FSB 14 600 000 occurrences Mossad 2 060 000 occurrences DGSE 264 000 occurrences Mes antennes m'ont glissé que la DGSE avait un projet de site dans ses cartons depuis bien longtemps mais que, faute de temps, le geek de service ne s'est pas encore mis à l'ouvrage. Dommage. | |
| | | Thomas tarasque géante
Nombre de messages : 361 Age : 42 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: News of the world Mer 28 Oct - 16:02 | |
| lisez (et regardez attentivement) cette lettre - Spoiler:
Did Gov. Arnold Schwarzenegger's office use a coded veto message to send the f-bomb to Tom Ammiano, soon after the San Francisco assemblyman made news by telling the governor to "kiss my gay ass"? Schwarzenegger's people say no. But the X-rated evidence is hard to miss in a message that Schwarzenegger sent to explain why he was vetoing an Ammiano bill dealing with financing for the Port of San Francisco.
A straight reading of the guv's letter laments "the fact that major issues are overlooked while many unnecessary bills come to me for consideration," and concludes, "I believe it is unnecessary to sign this measure at this time."
But a vertical read of the far-left-hand letters in each of the missive's eight lines offers a more blunt explanation: "I f- you."
Schwarzenegger's press secretary, Aaron McLear, insisted Tuesday it was simply a "weird coincidence." He sent us veto messages the governor sent out in the past with linguistic lineups such as "soap" and "poet," which he said were also unintended.
"Something like this was bound to happen," McLear said.
Maybe. But the veto message came after Ammiano called the governor a liar and shouted from the audience to "kiss my gay ass" when Schwarzenegger unexpectedly showed up at a Democratic Party dinner in San Francisco on Oct. 7.
Ammiano later called Schwarzenegger's attendance at the event a "cheap publicity stunt" that wasn't at all amusing, in light of the governor's cuts in social services, ordered furloughs of state workers and failure to act on some gay-rights issues.
The governor's veto letter was in response to Ammiano's AB1176 - a rather mundane bill meant to help San Francisco's port with finance issues. The "coincidence" was first picked up on Tuesday by the Bay Guardian newspaper.
As for Ammiano, a professional comic in addition to being a liberal Democrat, he's playing it straight on this one: "They probably think they are even now," he said.
"I think it was very creative, and it's time to bury the hatchet," Ammiano added. "I'm not interested in prolonging it."
The hidden message - if that's what it was - "was certainly more subtle than 'kiss my gay ass,' " said Barbara O'Connor, political science professor at Sacramento State University. "But it shows the acrimony and bad feelings in Sacramento are pretty bad.
"I doubt if it was the governor himself," O'Connor said. "But maybe the staff was having a good time."
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| | | jeanyves Ogre zombi
Nombre de messages : 31 Date d'inscription : 05/02/2007
| Sujet: Re: News of the world Jeu 29 Oct - 15:46 | |
| f u c k y o u t h o m a s | |
| | | Lucas Géant des collines
Nombre de messages : 75 Age : 32 Localisation : Liège, centre-ville Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: News of the world Jeu 29 Oct - 23:27 | |
| - jeanyves a écrit:
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